Flèches mystérieuses

Alors qu'il était en route pour le village à dos de furet, Farfal s'arrêta un moment lorsqu'il vit un chemin. Certainement bâti par des humains capricieux, haha. Mais ce petit paquet de pierres alignées tombait fort à propos. Oui, ce serait l'endroit idéal pour le Grand Jeu du Trésor!

Farfal sortit de son sac un petit pinceau, qu'il trempa dans une fiole contenant un liquide luminescent. Il épongea le surplus d'encre, puis, méticuleusement, il traça une flèche phosphorescente sur la route, pointant vers l'endroit qu'ils avaient choisi pour le début du jeu. À côté de la flèche, il inscrivit en lettres calligraphiées avec méticulosité "Trésor". Farfal prit un peu de recul pour admirer son travail, qu'il jugea satisfaisant. Il remonta sur le dos de Fufu, fit quelques enjambées, puis s'arrêta de nouveau, et dessina une nouvelle flèche, pointant vers celle qu'il venait de tracer. Il répéta ce processus sur tout le chemin principal jusqu'au village. Impossible de manquer l'une des flèches!

Mais tandis que Farfal terminait son 17e chef d'oeuvre lumineux, il vit un attroupement d'humains qui convergeaient vers le centre du village. Joie! Lequel de ces chanceux villageois serait l'heureux vainqueur de la chasse au trésor des farfadets? Farfal trépignait d'impatience, alors il décida d'aller palper le coeur du village.

HG : Postez ici si vous décider de suivre les flèches mystérieuses jusqu'au prochain endroit.

Gobo marchait sur le chemin principal apres une dur journée de travaille( xD)il vit sur son chemin une fleche ainsi que quelques mots ecrit quil ne comprenait pas puisqu'il ne savais pas lire.il suivi tout de meme les fleche jusqu'au lieu ou les flèche arretais

Après quelques minutes de marche, les flèches dévient légèrement du chemin principal pour se rendre dans la forêt. La flèche pointe vers un gros chêne massif. Sur le chêne, il est écrit en lettres phosphorescences stylisées "Mettez 1 pièce de cuivre dans le creux de cet arbre si vous ne voulez PAS prendre le raccourci vers le trésor." À côté de l'inscription, un minuscule trou est visible dans l'écorce du chêne. Au pied de l'arbre, une flèche pointe vers un chemin sinueux qui traverse un champ de chardons. Il y a un dessin de trésor sous la flèche.

HG: Continuez à poster pour suivre les flèches ou mettre de l'argent dans l'arbre.

Gobo ne sachant pas lire continua sur le chemin quindiquais la flèche

Le sentier s'enfonce dans une forêt dense d'arbres touffus et de chardonnerets. Après seulement quelques minutes de marche, les chardons commencent à s'accrocher sur tous les vêtements et cheveux de ceux qui les brave. Après quelques minutes supplémentaires, l'aventurier est couvert des pieds à la tête de chardons, le faisant ressembler à un porc-épic mal rasé.

Malgré tout, les efforts finissent par porter leurs fruits, car peu de temps après, l'aventurier arrive face une falaise escarpée parfaitement verticale d'environ 15 m de haut. Sur la falaise, on peut voir une flèche phosphorescente qui pointe vers le haut, avec un petit dessin de trésor en dessous. La falaise est facile à escalader car elle est clairsemée de rochers qui constituent d'excellentes prises. Toutefois, il serait extrêmement périlleux de tenter de redescendre la falaise par cet apique sans l'aide d'une bonne corde. Vu d'en bas, impossible de savoir ce qu'il y a en haut de la montagne, mais cette dernière semble s'élargir sur une grande distance dans la forêt.

Que faire?

Gobo continuais son chemin a travers la foret avant d'ariver dans une clairiere de chardon ,il sorti sa hache pres a couper toutes les branches et les plantes sur son chemin,apres quelques minutes de coupe il arrivas a une falaise facilement escaladable une fleche indiquais toujour le chemin et lui disait de monter la falaise .Apres avoir ranger sa hache il entrepris cette périeuse monté et atteint le sommet sans probleme , la descente serai plus dure plus tard mais bon ces pensée netait pas a sa

Au sommet de la montagne, Gobo s'aperçoit qu'il s'agit en fait d'une toute petite bute très large mais peu longue et très apique. Il ne semble pas y avoir de façon simple d'en descendre, la montagne étant trop haute pour en sauter sans risquer de se casser un os. Au milieu de la bute escarpée, sied un arbre ancestral particulièrement rabougri, aux racines tordues et aux branches pointues. Sur l'arbre, il est écrit en encre phosphorescente "Félicitations, le trésor n'est plus très loin! Placez une pièce d'argent dans le creux de cet arbre si vous ne voulez PAS prendre le second raccourci vers le trésor". À côté de l'arbre, une flèche pointe vers un trou creusé dans la pierre. Le trou est juste assez grand pour qu'un humain de taille normale puisse y pénétrer, les pieds devants ou la tête la première. Par ailleurs, le trou n'est pas parfaitement vertical, il est très incliné et la paroi de la pierre semble avoir été lubrifiée avec de la vase. En regardant attentivement au fond du trou incliné, il est possible d'apercevoir la lumière du jour environ 30 m plus bas. Le tout rappelle sensiblement une glissoire.

Que fera Gobo?

suivant toujour les fleches gobo entreprit de continuer ,apres otut sous les fleches il y avait un tresor et si il devait se batre il etait le plus califier pour le faire un pas devant l'autre il marchait se rendant vers l'arbe dous il pu apercevoir le trou acune fleche ne semblait indiquer le chemin mais la descente du trou semblait comme une glisoire vue sa taille de gobelin (plus petite que l'humain )il pouvait descendre facilement ,se quil fit...

Gobo glissa et glissa, et à mesure qu'il glissait, il prenait de la vitesse. Il sortit donc à l'autre extrémité du trou à toute allure et atterrit dans... SPLOUSH! ...une grande marre de boue collante! La marre était très suspicieuse, car étrangement profonde et éloignée de toute rivière, comme si quelqu'un avait creusé un grand trou à cet endroit exprès pour la remplir de gadoue. En outre, la boue n'était pas naturelle, elle était excessivement collante, comme si quelqu'un lui avait ajouté de la gomme d'épinette...

À proximité de la marre, les flèches reprenaient de plus belle et pointaient vers une caverne qui s'enfonçait directement dans le flanc de la montagne. La caverne était relativement basse et très obscure. Impossible de voir où elle menait, mais les flèches phosphorescentes éclairaient suffisamment pour qu'un chemin soit visible. Il faut s'accroupir et traverser une énorme toile d'araignée pour entrer dans la caverne. Comment celui qui a peint les flèches a-t-il fait pour passer cette grosse toile en la laissant intacte?

Gobo osera-t-il s'y aventurer?

Gobo planta sa hache dans l'arbe le plus proche , de facon a se que en tirant il puisse sortir de cette boue . une fois sorti il enlevs ces vêtement puis les tordis ,il les remis une fois le plus gros enlever.continuant son chemin il vit les fleche qui reprenait en direction d'une caverne qui netait pas éclairer une petit chemin continuait une fois a l'intérieur mais une toile d'araigner bloquais le chemin gobo la fendi d'un coup de hache et repris la route en suivant les flèches

La toile d'araignée fut facilement coupée. Même si quelques fils restèrent collés sur la hache de Gobo, la voie était désormais libre vers l'entrée de la caverne, où Gobo entra les pieds collants.

La grotte n'était pas rassurante. Parfaitement obscure et humide, on n'y voyait goutte. Après quelques coins tournés, la lumière de l'entrée avait totalement disparue, et la noirceur engloba Gobo comme un manteau froid. Gobo frissonna. Dans les profondeurs de la caverne, seules les flèches phosphorescentes qui éclairaient faiblement le sol fournissaient un repère rassurant et une promesse de sortie. Et c'est à ce moment précis que les flèches commencèrent à s'amuser...

Certaines flèches commencèrent à changer de taille, d'autres à changer de forme et de perspective. Avec le terrain inégal de la grotte et la noirceur absolue, il devint très difficile de savoir si la flèche était plus haute ou plus basse que la précédente. Gobo manqua de trébucher à plusieurs reprises. Puis ce fut encore pire : les flèches commencèrent à changer de position. Parfois elles étaient au sol, mais le plus souvent elles étaient sur les parois ou même au plafond. Gobo manqua de se cogner le nez à plusieurs reprises. En somme, Gobo marchait en aveugle dans un labyrinthe chaotique pendant une tornade de flèches lumineuses.

Ce n'est qu'après plusieurs murs cognés et de nombreux jurons que Gobo finit par apercevoir la lumière au bout du tunnel. À la fin de ce dédale psychédélique, la pointe du jour apparut devant Gobo tel le réveil après un rêve étrange. Toutefois, une seconde toile d'araignée barrait la sortie. Un oeil attentif remarquerait que la toile était bizarrement épaisse et peu naturelle, comme si elle était conçue de minuscules fils de pêche...

Quelle sera la suite de ses péripéties?

gobo n'avait jamais eux peur de rien et nen auras jamais peur, on auras pas un barbar de la sorte ,il sorite sa hache et découpas la toile en apliquant toute cest force puis ...

Gobo coupa les fils sans peur ni reproche, mais au même moment, il entendit un petit déclic qui rappelait le rire d'une chauve-souris. Puis VLOUM! une dizaine de gros sacs surprises tombèrent du sommet de la caverne où ils étaient cachés.

En s'écrasant au sol, les sacs éclatèrent et libérèrent leur joyeux contenu qui se déversa allégrement sur la tête de Gobo. Certains sacs contenaient de la farine, d'autre du guano, d'autres des plumes, d'autres du miel, mais la plupart contenaient des pétales de fleurs mutlicolores et odorantes. Le tout était léger et volatile et forma un vaste nuage dont il était impossible de s'échapper. Comme les vêtements de Gobo étaient encore très gluants, le tout s'amalgama sur lui comme un collage. En sortant de la grotte, Gobo ressemblait à une peinture florale parfumée et ambulante!

À l'extérieur de la caverne, les flèches poursuivaient leur route dans la forêt sur un sentier bien défini mais quelque peu tortueux. Toutefois, après une bonne marche, il arriva quelque chose qui ne s'était jamais produit auparavant : les flèches se séparèrent en deux chemins bien distincts. Le marcheur avait donc le choix entre prendre le chemin incliné vers la gauche, ou prendre le chemin incliné vers la droite. Les deux chemins apparaissaient identiques... mais l'étaient-ils vraiment?

gobo detestais ces bonne odeur ,il se désabilla et ne garda que son pagne heureusement il n'avait pas d'armureet pris donc la route arriver à la croiser des chemin il inspectas les deux chemin et enpruntas celui qui sembalis le plus dangereux ,la ou personne n'avias jamais encor marcher .



*utilisation de compétence pistage

Gobo s'accroupit et observa méticuleusement les deux sentiers, et constata que les deux chemins avaient été empruntés récemment. Il remarqua aussi plusieurs traces de pattes, qui ressemblaient à celles laissées par un furet ou un blaireau. Près des dessins de flèches, il vit quelques traces de bottes minuscules, mais celles-ci ne menaient nulle part. Son instinct de pisteur lui indiqua que le chemin incliné vers la droite était le plus dangereux, il partit donc dans cette direction.

Le sentier s'aventurait dans les profondeurs de la forêt, en courbant légèrement vers la droite. Bzzz. De part et d'autres du sentier, de petites fleurs bleues côtoyaient des champignons oranges. Bzzz Bzzz. Les flèches devenaient de plus en plus espacées. Bzzzz Bzzzz Bzzzz. Des masses jaunâtres dans les arbres rappelaient des ruches... Bzzzz Bzzzz Bzzzz! Gobo eut un mauvais pressentiment. BZZZZZZ!

Lorsque Gobo se retourna, il vit des centaines d'abeilles qui commençaient à virevolter partout autour de lui. Attirées par l'odeur de fleur et de miel qui imprégnait son pagne et ses cheveux, les abeilles s'approchaient frénétiquement de Gobo. Devant lui, le sentier se divisait maintenant en trois chemins distincts. Une flèche pointait vers le nord et une flèche pointait vers l'est, mais aucune flèche ne pointait vers le sentier du sud-ouest. Le chemin du sud-est d'où venait Gobo était invisible derrière lui, mais pas la nuée d'abeilles assoiffées de gobelin. Gobo devait se décider rapidement car son petit pagne n'offrirait pas grande protection contre ces pillards ailés!

Heureusement gobo avait toujour plus d'un tour dans son sac ,il sortie une es dinamite de son sac fameusee marque de son clan les dinamyte qui tue il l'allumas et la lance deriere lui de facon a effrayer et bruler les abeille puis pris le temp de pister le chemin et suivi son instinc de danger !

*pistage ....et ui gobo a vraiment de la dynamite dans son sac et vous n'aver encor rien vue :p*

Avec adresse, Gobo lança un bâton de dynamite derrière lui, qui explosa en projetant poussière et terre brûlée sur les abeilles. Plusieurs d'entre elles furent carbonisées sur place, et les autres furent confuses par le nuage de fumée qui venait d'être créé.

Ceci laissa le temps à Gobo d'analyser rapidement les trois chemins, et son instinct lui dit que le chemin de l'est était le plus dangereux, pour les mêmes raisons que la dernière fois. Exactement les mêmes raisons.

Le sentier s'aventurait dans les profondeurs de la forêt, en courbant légèrement vers la droite. De part et d'autres du sentier, de petites fleurs bleues côtoyaient des champignons oranges. À mesure qu'il marchait, les flèches devenaient de plus en plus espacées. Des masses jaunâtres dans les arbres rappelaient des ruches... Uh oh. Gobo eut un mauvais pressentiment.

Soudain, Gobo arriva devant un gros cratère fumant, comme si quelqu'un avait lancé une dynamite à cet endroit il y a peu de temps. Il y avait encore trois sentiers devant lui, orientées comme avant. Mais une minute, ceci lui rappelait quelque chose! Oh non! En se retournant, il vit à nouveau que les abeilles l'avaient encerclé. Elles étaient maintenant deux fois plus nombreuses que la dernière fois et paraissaient plus agressives, confirmant que Gobo avait bel et bien emprunté le sentier le plus dangereux. Où ira-t-il maintenant?

gobo entreprit de garder les dinamyte qui lui restais et courue vers le chemin droit devant (celui du milieu0

Gobo courut et courut jusqu'à ce que les abeilles se lassent, tant et si bien qu'il finit par les semer derrière lui. Il s'en tira donc avec un minimum de piqûres, mais les démangeaisons allaient bientôt être le moindre de ses soucis.

Grâce à son instinct de pisteur, il était maintenant sorti du labyrinthe de flèches phosphorescentes. Devant lui se tenait un gigantesque érable noir. Sur l'écorce, il était écrit avec une calligraphie toujours aussi stylisée et incompréhensible pour Gobo : "Félicitations, le trésor n'est plus très loin. Insérez une pièce d'or si vous ne voulez PAS prendre le troisième et dernier raccourci vers le trésor"

À sa gauche, une flèche avec un symbole de trésor pointait vers une grande crevasse. À cet endroit, le sol était fissuré sur une largeur de plusieurs mètres, ce qui rendait le trou impossible à sauter. Il serait éventuellement possible de contourner la crevasse, mais il faudrait pour cela se tailler un chemin dans un dense fourbi de rosiers épineux et de branches pointues, ce qui prendrait au moins une heure. Quant à la profondeur du trou, impossible à déterminer, car le fond n'était pas visible. Mais une chose était sûr, le précipice semblait profond et peu recommandable.

Heureusement, un long tronc d'arbre avait été placé au-dessus de la crevasse. Le tronc était très mince mais très solide, ce qui en ferait un pont acceptable, à condition de maintenir son équilibre durant tout le parcourt. Au milieu du tronc d'arbre, une plante inconnue ressemblant à une fougère avait poussé ...ou avait été placée.

Gobo osera-t-il braver le raccourci d'or, malgré les dangers imminents qu'il renferme?

gobo profitas de son sens du danger et de son équilibre pour oser braver le petit pont apres tout on ne se débaserais pas de lui aussi facilement que sa il se lanca a la traverse de se pont ,,pourquoi ne pas tanter sa chance il y avait un trésor en jeu

Gobo marcha précautionneusement sur le petit pont, en s'efforçant de ne pas trop regarder en bas, vers les profondeurs insondables du précipice brumeux. Le pont émit quelques craquements stressants et tangua légèrement vers le bas à son passage, mais il tint bon. Gobo avança, un pied à la fois, car la surface du tronc était recouverte de mousse humide et glissante. Marcher sur cette surface lisse et courbée vers le bas n'avait rien de rassurant, mais Gobo parvint néanmoins à arriver à mi-chemin de la crevasse.

À cet endroit, une plante suspicieuse avait été placée. Sitôt que Gobo s'en approcha, la plante se recroquevilla sur elle-même en un geste d'autodéfense, tout en émettant un jet de poudre vaporeuse. Impuissant, Gobo vit la poudre se déposer tranquillement sur sa peau nu, et redouta le pire. Et c'était pire que ce à quoi il s'attendait : c'était de la poudre à chatouille!

Pris d'un fou-rire inexpugnable, Gobo voulut se tordre d'hilarité, mais il se rappela à temps qu'il était sur un mince pont au-dessus du vide et que tout mouvement brusque risquait de le déséquilibrer. Il fit des efforts surhumains pour ne pas rire, mais plus il se retenait, plus il perdait l'équilibre. Soudainement, le rire fut plus fort que tout.

Gobo aura-t-il l'équilibre et la force mentale de traverser le pont, ou sera-t-il précipité vers un abysse incertain?